GĂ©nĂ©rationKalach : la face cachĂ©e des citĂ©s (2021) 10 09/29/2021 (FR) Documentary. User Score. Overview. We don't have an overview translated in English. Help us expand our database by adding one. JĂ©rĂŽme Pierrat. Director. Top Billed Cast. We don't have any cast added to this movie. You can help by adding some! Login to Edit Cast & Crew. Social. Synopsis- GĂ©nĂ©ration Kalach : la face cachĂ©e des citĂ©s. JĂ©rĂŽme Pierrat, journaliste d'investigation et spĂ©cialiste du crime organisĂ©, s'est infiltrĂ© au coeur des quartiers sensibles marseillais oĂč violences et trafics de drogues ne cessent d'augmenter depuis des dĂ©cennies. PrenantĂ  contre-pied quatre-vingts annĂ©es d’historiographie, Ellington Uptown montre qu’Ellington (1899-1974) et Johnson (1894-1955), deux pionniers du jazz orchestral issus de la middle class afro-amĂ©ricaine, formĂ©s respectivement Ă  Washington et Ă  New York, puis par les pianistes stride du Harlem des annĂ©es 1920, cherchent une lĂ©gitimation en se plaçant sur le Vay Tiền Nhanh. CBC/Radio-Canada, la sociĂ©tĂ© de radio et tĂ©lĂ©vision d'Etat canadienne, s'est fixĂ©e un calendrier d'un an entre aoĂ»t 2011 et aoĂ»t 2012 pour convertir l'ensemble de ses Ă©metteurs TV au plan de se passage au "tout numĂ©rique", qui a Ă©tĂ© rendu publique vendredi, s'effectuera sous l'Ă©gide du CRT Conseil de la radiodiffusion et des tĂ©lĂ©communications canadiennes, un organisme indĂ©pendant chargĂ© de rĂ©glementer et de superviser la radiodiffusion et les tĂ©lĂ©communications canadiennes. CĂŽtĂ© pratique pour les tĂ©lĂ©spectateurs, seuls les tĂ©lĂ©viseurs rĂ©cents pourront capter les signaux numĂ©riques, les plus anciens devront ĂȘtre dotĂ©s d'un adaptateur reliĂ© Ă  l'antenne. Il faudra dĂ©bourser environ 75 $ canadiens environ 55 eurospour acquĂ©rir cet prĂ©voit installer des Ă©metteurs numĂ©riques dans toutes les villes oĂč elle produit de la programmation tĂ©lĂ©visuelle originale. En tout, 27 Ă©metteurs devront ĂȘtre installĂ©s, desquels 15 d'entre eux entreront en exploitation au mois d'aoĂ»t 2011. Les 12 autres seront mis en place au plus tard en aoĂ»t 2012. Au QuĂ©bec, les villes de MontrĂ©al, QuĂ©bec, Chicoutimi, Rimouski, Trois-RiviĂšres et Sherbrooke bĂ©nĂ©ficieront de ce changement au cours des prochains mois. La sociĂ©tĂ© d'État continuera Ă  offrir des services de tĂ©lĂ©vision analogique dans les autres marchĂ©s qui ne sont pas visĂ©s par la conversion obligatoire. Source Replay - Vendredi 10/06/22 - 0932Replay - Vendredi 10/06/22 - 0933Replay - Vendredi 10/06/22 - 0904Replay - Vendredi 10/06/22 - 0914Replay - Vendredi 10/06/22 - 0937Replay - Vendredi 10/06/22 - 0936Replay - Vendredi 10/06/22 - 0930Replay - Vendredi 10/06/22 - 0919Replay - Vendredi 10/06/22 - 0908Replay - Vendredi 10/06/22 - 0925Replay - Vendredi 10/06/22 - 0909Replay - Vendredi 10/06/22 - 0915Replay - Vendredi 10/06/22 - 0906Replay - Vendredi 10/06/22 - 0923Replay - Vendredi 10/06/22 - 0911Replay - Vendredi 10/06/22 - 0935Replay - Vendredi 10/06/22 - 0920Replay - Vendredi 10/06/22 - 0902Replay - Vendredi 10/06/22 - 0907Replay - Vendredi 10/06/22 - 0916 6 juillet 2009 1 06 /07 /juillet /2009 1735 EN VUE DE PREPARER LES CITOYENS DU MONDE AUX DANGEREUSES VACCINATIONS OBLIGATOIRES
 GARY MATSUMOTO et d’autres chercheurs ont dĂ©clenchĂ© l’alarme pour avertir un maximum de personnes et leur conseiller d’éviter les poisons qui leur sont prĂ©sentĂ©s comme des mĂ©dicaments protecteurs. » Stephen Lendman , 10 juin 2009. Il est inconcevable de constater que l’OMS, les Etats-Unis, ainsi que les autoritĂ©s d’autres pays rĂ©pandent mensonges, tromperies et hystĂ©rie pour permettre aux grandes compagnies pharmaceutiques la diffusion de dangereux vaccins et autres mĂ©dicaments auprĂšs de personnes qui ne se doutent de rien, ouvrant peut-ĂȘtre ainsi la porte Ă  la maladie et Ă  une mort prĂ©coce 
. Gary Matsumoto est un journaliste new-yorkais qui fut plusieurs fois rĂ©compensĂ© pour ses articles d’investigation. Dans son ouvrage de 2004 Vaccin A l’expĂ©rience secrĂšte du gouvernement tue nos soldats et explique pourquoi les GIs ne sont que les premiĂšres victimes ». Il conteste les rĂ©sultats de l’IOM et marque son dĂ©saccord au dĂ©menti du Pentagone au sujet du syndrome de la guerre du Golfe. Analysant le contexte obscur dans lequel les vaccinations se sont dĂ©veloppĂ©es, il a fini par dĂ©couvrir que les mĂ©decins et les scientifiques de l’armĂ©e avaient rĂ©alisĂ© des expĂ©riences mĂ©dicales secrĂštes sur des citoyens amĂ©ricains en violation du code de Nuremberg et de l’éthique mĂ©dicale la plus fondamentale. Concernant l’expĂ©rimentation sur des ĂȘtres humains, le code de Nuremberg a Ă©tabli des normes prĂ©cises qui ont Ă©tĂ© reprises dans les directives de l’éthique mĂ©dicale. photo Ces normes exigent -Le consentement volontaire des sujets, et ce, en dehors de toute forme de coercition, fraude ou duperie, et avec la pleine connaissance des risques encourus. -Les expĂ©rimentations devraient Ă©viter toute forme de souffrance physique, psychique inutile, ainsi que tout dommage quel qu’il soit. ». -Les expĂ©rimentations ne devraient jamais ĂȘtre entreprises si, Ă  priori, il existe des raisons de croire que des dommages, infirmitĂ©s ou la mort pourraient s’ensuivre. -Les risques ne devraient jamais ĂȘtre disproportionnĂ©s par rapport Ă  l’importance du problĂšme humanitaire Ă  rĂ©soudre. -Les expĂ©rimentations devraient immĂ©diatement prendre fin s’il existe des raisons de croire que des dommages, des infirmitĂ©s ou la mort pourraient s’ensuivre. Vaccin A, L'expĂ©rience cachĂ©e du gouvernement qui tue nos soldats et pourquoi les GI's ne sont en fait que les premiĂšres victimes, Gary Matsumoto. Selon Matsumoto, le Pentagone a violĂ© ces normes, trahi les troupes, ainsi que le devoir fondamental des chefs militaires et civils sensĂ©s protĂ©ger leurs hommes. Depuis au moins 1987, le dĂ©veloppement de la guerre biologique a dĂ©truit le bien-ĂȘtre de dizaines de milliers de GI’s utilisĂ©s comme cobayes humains dans les programmes de vaccinations expĂ©rimentales non autorisĂ©s contre l’anthrax contenant du squalĂšne – un adjuvant huileux destinĂ© Ă  augmenter l’immunitĂ©. Il est connu depuis des dĂ©cennies que cet adjuvant peut provoquer des maladies auto-immunes graves chez les animaux de laboratoire. Il fut cependant utilisĂ© involontairement sans que soient rĂ©vĂ©lĂ©s ses effets nĂ©fastes sur la santĂ© des personnes. Matsumoto a Ă©crit Les expĂ©rimentations mentionnĂ©es dans ce livre et rĂ©alisĂ©es en dehors de toute Ă©thique n’ont jamais cessĂ©. Il ne fut nullement envisagĂ© de les limiter parce que les exigences de la sĂ©curitĂ© nationale les mettaient Ă  l’abri de toute enquĂȘte et excluaient toute forme de responsabilitĂ©. Quand Michael Whitehouse de la FacultĂ© de mĂ©decine UCLA et Frances Beck ont injectĂ© du squalĂšne combinĂ© Ă  d’autres substances Ă  des rats et des cobayes avant 1970, peu de ces substances huileuses avaient autant la capacitĂ© de provoquer de l’arthrite et de la sclĂ©rose en plaques chez les animaux. En 1999 l’immunologiste Johnny Lorentzen de l’Institut suĂ©dois Karolinska a montrĂ© que l’injection de molĂ©cules apparemment banales comme le squalĂšne et que l’on trouve dans le corps peut stimuler une rĂ©ponse immunitaire auto-destructrice. D’autres recherches montrent que le squalĂšne en tant qu’ingrĂ©dient expĂ©rimental des vaccins contre l’anthrax provoque des maladies auto-immunes dĂ©vastatrices et des dĂ©cĂšs chez de nombreux vĂ©tĂ©rans de la guerre du Golfe, aux Etats-Unis et en Australie, alors mĂȘme qu’il continue Ă  ĂȘtre utilisĂ© pour la mise au point de nouvelles vaccinations dans les laboratoires
 Il existe une Ă©troite relation entre les maladies des animaux induites par le squalĂšne et celles qui sont observĂ©es chez les humains auxquels ce produit est injectĂ© rhumatisme articulaire, sclĂ©rose en plaques et lupus Ă©rythĂ©mateux. Il existe au minimum 24 Ă©tudes scientifiques peer-reviewed de dix laboratoires diffĂ©rents aux Etats-Unis, en Europe, en Asie et en Australie qui documentent le dĂ©veloppement de maladies auto-immunes chez des animaux soumis Ă  des injections comportant des adjuvants Ă  base de squalĂšne . 1 Le Dr qui a menĂ© des recherches poussĂ©es sur les adjuvants des vaccins Ă©crit le squalĂšne a produit une cascade de rĂ©actions telles que le syndrome de la guerre du Golfe, l’arthrite, la fibromyalgie, la lymphadĂ©nopathie, la fatigue chronique, les cĂ©phalĂ©es chroniques, la perte anormale de cheveux, des lĂ©sions de la peau qui ne guĂ©rissent pas, des ulcĂšres, des vertiges, des pertes de mĂ©moire, de modifications de l’humeur, des problĂšmes neuropsychiatriques, des troubles thyroĂŻdiens, de l’anĂ©mie, le lupus Ă©rythĂ©mateux, la sclĂ©rose en plaques, le syndrome de Sjorgen, de Raynaud, la diarrhĂ©e chronique, les transpirations nocturnes, de la fiĂšvre peu Ă©levĂ©e
 Le livre de Matsumoto 2 fait Ă©tat de nombreuses Ă©tudes de cas de GIs atteints de l’un ou plusieurs symptĂŽmes relevĂ©s ci-dessus, de leurs effets dĂ©vastateurs, ainsi que des rĂ©actions du gouvernement amĂ©ricain refusant de reconnaĂźtre leur existence ou la relation existant entre ces maladies et les vaccinations
 Selon Matsumoto les adjuvants Ă  base de squalĂšne constituent l’ingrĂ©dient principal pour une nouvelle gĂ©nĂ©ration de vaccins destinĂ©s Ă  l’immunisation de masse partout dans le monde, et ce, malgrĂ© que les chercheurs de la FacultĂ© de MĂ©decine de Tulane et de l’Institut Militaire de Walter Reed ont dĂ©montrĂ© que le systĂšme immunitaire rĂ©pond spĂ©cifiquement Ă  la molĂ©cule de squalĂšne. Le systĂšme immunitaire reconnaĂźt le squalĂšne comme une molĂ©cule propre au corps. On peut le trouver dans les genoux, le coude, le cerveau et tout le systĂšme nerveux. Mais quand cette molĂ©cule est injectĂ©e dans le corps, le systĂšme immunitaire intervient pour la dĂ©truire et pour l’éliminer. IngĂ©rer et digĂ©rer le squalĂšne ne pose absolument aucun problĂšme, mais le fait de l’injecter galvanise le systĂšme immunitaire qui s’emploie Ă  l’attaquer
 Matsumoto dit que le squalĂšne peut ĂȘtre considĂ©rĂ© comme le dĂ©clencheur d’une authentique arme biologique. Les chercheurs soviĂ©tiques l’ont baptisĂ© bombe Ă  retardement biologique !!! »  Matsumoto et le Dr Pam Asa doivent conclure que ces types d’adjuvants huileux constituent l’arme chimique la plus insidieuse qui ait jamais Ă©tĂ© conçue ».Ceci comprend Ă©galement le squalĂšne. Depuis les annĂ©es ’80, les soviĂ©tiques savaient que ces produits pouvaient ĂȘtre employĂ©s comme armes chimiques. Matsumoto explique que le vĂ©ritable problĂšme Ă  propos de l’utilisation du squalĂšne est qu’il imite parfaitement une molĂ©cule qui se trouve faire partie du corps ; c’est exactement la mĂȘme molĂ©cule. Ainsi, ce que des scientifiques amĂ©ricains ont conçu comme un excitateur de l’immunitĂ© constitue en fait une nouvelle nano-bombe susceptible de provoquer des maladies imprĂ©visibles, dĂ©bilitantes et chroniques. Quand le NIH a rĂ©torquĂ© que le squalĂšne Ă©tait sĂ»r parce qu’il fait partie du corps, on peut affirmer que c’était l’exact opposĂ© qui Ă©tait vrai et Ă©videment l’est toujours. C’est la prĂ©sence naturelle du squalĂšne dans le corps qui en a fait l’une des molĂ©cules les plus dangereuses qui aient jamais Ă©tĂ© injectĂ©es Ă  un ĂȘtre humain. Le fait d’utiliser cette molĂ©cule dans les vaccins est tout simplement barbare et criminel
. Il est fĂącheux de constater que plusieurs vaccins actuellement Ă  l’étude chez le NIH et associĂ©s contiennent du squalĂšne sous une forme ou sous une autre. Il y a du squalĂšne dans les vaccins recombinants pour le HIV, la malaria, l’herpĂšs, la grippe y compris la grippe porcine, le cytomĂ©galovirus, et le papillomavirus humain. Certains de ces vaccins sont prĂ©vus pour des vaccinations de masse partout dans le monde. Cette possibilitĂ© devrait, Ă  elle seule, terrifier tout un chacun pour l’amener Ă  refuser n’importe quelle prescription de ces vaccins. Un autre problĂšme est qu’il faut parfois des annĂ©es pour pouvoir diagnostiquer un problĂšme d’auto-immunitĂ© parce que les symptĂŽmes immĂ©diats maux de tĂȘte, douleurs articulaires
 sont parfois si vagues qu’ils peuvent facilement ĂȘtre attribuĂ©s Ă  d’autres causes. Depuis longtemps des experts ont considĂ©rĂ© que les vaccinations ont toujours prĂ©sentĂ© suffisamment de dangers pour que l’on puisse les qualifier d’armes biologiques pour la simple raison qu’elles sont susceptibles de dĂ©truire la santĂ©, endommager le systĂšme immunitaire et favoriser des maladies. La nouvelle solution de Big Pharma des vaccins plus puissants, gĂ©nĂ©tiquement modifiĂ©s et des mĂ©dicaments susceptibles de nuire Ă  ceux qui les prennent ou mĂȘme susceptibles d’entraĂźner la mort, et ce, tout spĂ©cialement pour les personnes dont le systĂšme immunitaire est fragilisĂ©. Matsumoto et d’autres chercheurs ont dĂ©clenchĂ© l’alarme pour avertir un maximum de personnes et leur conseiller d’éviter les poisons qui sont prĂ©sentĂ©s comme des mĂ©dicaments protecteurs. En fait ces produits profitent essentiellement aux compagnies qui les fabriquent et aux scientifiques qui en rĂ©coltent les royalties. Stephen Lendman, Global Research, 10 juin 2009. Readying Americans for Dangerous,Mandatory Vaccinations » , Notes et extraits-Traduction Research Associate of the Centre for Research on Globalisation e-mail lendmanstephensbc 10 juin 2009 1 FLU SHOTS AND THE NEW ADJUVANTS BEWARE ! Dr Sherri Tenpenny 2 Gary MATSUMOTO Vaccine A The Covert Government Experiment that’s killing Our Soldiers and why GIs are Only the first Victims » ATTENTION AUX VACCINS ANTI-GRIPPE ET AUX NOUVEAUX ADJUVANTS ! Dr Sherri TENPENNY Extraits Dans une revue comportant 51 Ă©tudes rĂ©alisĂ©es sur enfants et comprenant 17 documents traduits du Russe, les chercheurs ont conclu qu’il n’existait aucune preuve que l’injection du vaccin contre la grippe Ă  des enfants de 6 Ă  23 mois soit plus efficace qu’un placebo. 3 Pour les adultes en bonne santĂ© les rĂ©sultats ont Ă©tĂ© similaires. La recherche se base sur 25 Ă©tudes portant sur participants. A nouveau le groupe Cochrane a trouvĂ© que la vaccination rĂ©duisait le risque de grippe de 6% Ă  peine et rĂ©duisait le nombre de jours d’absence au travail de moins de 1% 0,16%. Les chercheurs ont conclu que les rĂ©sultats de cette Ă©tude ne confortaient nullement le projet de la vaccination universelle d’adultes en bonne santĂ© Researchers concluded, Universal immunization of healthy adults was not supported by the results of this review.» En ce qui concerne la population des personnes ĂągĂ©es que vise en premier lieu la vaccination contre la grippe, le groupe Cochrane s’est basĂ© sur la revue de 64 Ă©tudes et a, sur un ton de rĂ©primande dĂ©clarĂ© La folle efficacitĂ© de 100% vantĂ©e par les partisans de la vaccination anti- grippe n’a pu ĂȘtre trouvĂ©e nulle part
 Ce que, par contre, on peut observer c’est que ce sont les rĂšgles de marchĂ© qui rĂ©gissent le problĂšme de la grippe. Les Ă©lĂ©ments preuves scientifiques apparaissent seulement en quatriĂšme ou cinquiĂšme rang. » Rosenthal E. Two Studies Question the Effectiveness of Flu Vaccines.» The New York Times. September 21, 2005. Une nouvelle Ă©tude qui sera prochainement publiĂ©e dans le prestigieux journal mĂ©dical, Vaccine, propose les mĂȘmes conclusions. L’étude fut entreprise pour dĂ©terminer si l’incidence de la grippe avait chutĂ© en Ontario Canada Ă  la suite de la Campagne de Vaccination Universelle contre la Grippe UIIC en 2000. Tous les cas de grippe diagnostiquĂ©s entre janvier 1990 et aoĂ»t 2005 et confirmĂ©s par les laboratoires furent analysĂ©s. On a pu dĂ©terminer que En dĂ©pit d’une campagne de vaccination intensifiĂ©e et de l’augmentation des ressources financiĂšres destinĂ©es Ă  promouvoir la vaccination », la campagne nationale de vaccination n’a pas pu faire dĂ©croĂźtre l’incidence de la grippe.

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